Agreenium

Agreenium est un consortium qui regroupe les principaux acteurs de la recherche et de la formation supérieure agronomique et vétérinaire en France que sont l’INRA, le Cirad, AgroParisTech, Agrocampus Ouest, Montpellier SupAgro, l’Institut National Polytechnique de Toulouse, AgroSup Dijon et Bordeaux Sciences Agro.
L’un des objectifs d’Agreenium est d’améliorer la lisibilité de l’offre française en recherche et en enseignement supérieur agronomiques et d’en faciliter l’accès à ses partenaires. Il a ainsi un rôle d’impulsion, d’animation et de coordination d’actions et de projets en partenariats.
Quelques chiffres :
- 13 400 étudiants et 2 200 doctorants dans les domaines agronomiques et vétérinaires.
- 5 500 chercheurs et 1 200 enseignants-chercheurs.
- Une présence à l’international dans plus de 50 pays du Nord comme du Sud.
Agreenium a lancé début 2014 la création d’une Université en ligne en agrosciences. Son rôle est de fédérer les forces des membres pour construire et animer une offre de formation française en ligne, afin de devenir le portail universitaire numérique français en agrosciences à l’échelle du monde.
L’un des objectifs du projet est de diffuser massivement des cours en ligne pour un public averti mais large dans un domaine thématique où l’excellence française est reconnue.
C’est le rôle premier que l’on peut donner aux MOOC, même si ceux-ci peuvent être utilisés également comme briques de formation dans un parcours qualifiant ou diplômant.

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Chimiometrie, chapitre 1/2: les méthodes non supervisées (FUN)

Peut-on estimer la composition chimique d'un échantillon en quelques secondes et sans le toucher ? Identifier son origine ? Oui ! C'est possible, en réalisant l'acquisition d'un spectre de l'échantillon et son traitement avec des outils de chimiométrie.

Bases en épidémiologie des maladies animales (FUN)

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Bases en épidémiologie des maladies animales (FUN)
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Aujourd’hui dans le monde, de nombreuses épidémies émergent ou ré-émergent (Fièvre de la Vallée du Rift, Peste des Petits Ruminants …) et leur prise en charge par les services sanitaires nécessite des analyses épidémiologiques fines.